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Avances en Periodoncia e Implantología Oral

versión On-line ISSN 2340-3209versión impresa ISSN 1699-6585

Resumen

VERNAL, R.; DUTZAN, N.; LEON, R.  y  GAMONAL, J.. Papel de los linfocitos T CD4+ en la destrucción ósea observada durante la periodontitis crónica. Avances en Periodoncia [online]. 2006, vol.18, n.3, pp.149-162. ISSN 2340-3209.

But: La parodontite chronique est une maladie de nature inflammatoire et étiologie infectieuse, caractérisée par la destruction de l’appareil d’insertion de la dent, ciment radiculaire, ligaments parodontaux et os alvéolaire, et qui cause la perte des dents. Pendant son développement, un dense infiltré inflammatoire cellulaire est établie, constitué principalement par des lymphocytes T, avec la capacité de sécréter une série de cytokines impliquées dans les événements pathogéniques de la maladie, en régulant l’inflammation des tissus parodontaux et la destruction de l’os alvéolaire. La cytokine récemment identifiée dans l’arthrite rhumatoïde RANKL (ligand du récepteur activeur du facteur de transcription nucléaire kB) est exprimé par les lymphocytes T CD4+, et est directement impliqué dans les processus de stimulation de la différenciation des ostéoclastes, leur activation, et la destruction osseuse de l’articulation. L’objectif de la présente étude est de déterminer une possible association entre des niveaux élevés de RANKL et la parodontite chronique, et établir si les lymphocytes T CD4+ recrutés dans les emplacements avec parodontite chronique son les cellules qui sécrètent cette cytokine. Matériel et méthodes: Dans 33 patients ages de 35 années diagnostiqués de parodontite chronique et 20 individus contrôles sains, les niveaux de d’acide ribonucléique messager (ARNm) spécifique pour RANKL ont été déterminés sûr des biopsies de gencive par RT-PCR en temps réel. À partir de les mêmes biopsies, des cellules gingivales totales ont été isolées pour typifier et quantifier les leucocytes infiltrant de la gencive et identifier les cellules responsables de l’expression de RANKL par cytométrie de flux de double couleur. Résultats: Les patients diagnostiqués de parodontite ont des niveaux plus élevés de ARNm de RANKL en comparaison à des individus sains (238 fois), et des pourcentages de lymphocytes T CD4+ (7 fois) et CD8+ (5 fois) supérieurs à des individus sains. Une association entre les taux d’expression de RANKL et le pourcentage de lymphocytes T CD4+ a été déterminée par cytométrie de flux. Conclusion: Ces données démontrent que de plus grands niveaux de RANKL, que peuvent être expliqués en partie à l’activité des lymphocytes T CD4+ dans l’emplacement de l’infection, sont associés à la parodontite. La détermination de l’association entre la parodontite chronique et la synthèse de RANKL constitue un mécanisme moléculaire intéressant qui contribue à expliquer en partie la destruction tissulaire associée et permet de projeter de nouvelles stratégies immunotherapéutiques qui aideraient à contrôler la perte de tissu caractéristique de la parodontite chronique.

Palabras clave : Periodontitis; RANKL; Linfocitos; CD4.

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